Quelqu'un cogne à votre porte un beau matin, vous ouvrez mais de l'autre côté surprise, il n'y avait personne. Vous décidez de ne pas porter attention, retournez à vos occupation de la journée et oubliez cet évènement sans vous questionnez plus longtemps. Dans un deuxième scénarios, qui était là? C'est votre frère il est parti de suède pour venir vous voir c'est tout un voyage! Vous lui dite qu'il n'aurait pas du dépenser autant de temps, d'énergie et d'argent pour venir vous voir, vous vous sentez coupable pour l'essence qu'il a consommé. C'est une forme de victimisation, dans un troisième scénarios, derrière la fameuse porte il était là mais c'était caché dos contre le mur de votre couloir, il c'était dit que ce n'était pas le bon moment et il vous laisserait du temps pour vous préparer. Vous refermez la porte, ce qui nous ramène au premier scénario, vous vous occupé de votre journée. Une heure plus tard vous êtes encore en pyjama et il s'en va. En vérité votre frère n'avait pas le cran de vous affronter pour vous annoncer une mauvaise nouvelle c'est créer une sortie pour s'échapper en vous blâmant d'être une paresseuse c'est de la double victimisation.
Vous n'avez pas besoin d'un frère, à vrais dire, il n'est pas un frère pour vous.
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